Les expositions partagent une économie dans les moyens mis en œuvre, mais n'en font pas moins naître des abîmes d'interrogations tant philosophiques qu'esthétiques.X poursuit son travail de remise en cause des signes tangibles de la réalité.
(…) Il aborde successivement la question de la pérennité des choses, de
la transposabilité du réel ou de sa modification par la technologie
numérique.
XX questionne les notions
d'identité dans la production d'art et s'attache à re-penser les
contours du fameux «le personnel est le politique».(...) En
s’appropriant certains aspects de la culture africaine, rasta et vaudou,
XX fait le choix de références aux antipodes d’une
modernité froidement rationnelle, lisse et sérieuse. XX relativise
également, tout en renforçant sa signification, toute tentative
d’identification.
X opère un double déplacement,
paradoxal seulement en apparence, qui vise à une beaucoup plus grande
économie de moyens en même temps qu’à une ouverture sur des enjeux plus
vastes. À bas bruit, ils suscitent d’autant mieux les échos des
mythologies résonnant avec ceux des mystères de notre quotidien.
Certes, l’art doit évoquer,
invoquer les mouvements profonds d’une époque. Mais il est gouverné,
tout autant, par la nécessité absolue de les nier, ou, mieux encore, de
s’inscrire en contrepoint, comme le fait XX, par l’association de deux
mythes pour un propos inactuel.
(...)un objet non répertorié,
inadéquat et «incasable», par ailleurs une identité forte, du fait de
son prisme: s’intéresser principalement aux critiques, commissaires,
artistes, etc., noirs et arabes. Ainsi, XX (...)pratique une forme de
discrimination positive, partant du constat d’un déséquilibre de la
place et du rôle des noirs et des arabes dans le dit «monde de l’art»
C'est un truc à moi, l'auteur qui vous parle: remplacez femme par noir ou arabe quand quelqu'un ne comprend pas une problématique féministe. avec femmes c'est déjà sur le web, donc je ne me fatiqgue pas: Y réactive avec nostalgie et humour les formes assimilées de l’engagement idéologique des femmes dans l’art. Il y avait une niche. Y a dit: "Médor c'est nous, on sait faire, même le design. Et en plus on mord pas". D'où le double déplacement, paradoxal seulement en apparence qui vise à une beaucoup plus grande économie de moyens en même temps qu’à une ouverture sur des enjeux plus vastes. À bas bruit, ils suscitent d’autant mieux les échos des mythologies résonnant avec ceux des mystères de notre quotidien.
Ah zut, je l'ai déjà dit, ça.
C'est un truc à moi, l'auteur qui vous parle: remplacez femme par noir ou arabe quand quelqu'un ne comprend pas une problématique féministe. avec femmes c'est déjà sur le web, donc je ne me fatiqgue pas: Y réactive avec nostalgie et humour les formes assimilées de l’engagement idéologique des femmes dans l’art. Il y avait une niche. Y a dit: "Médor c'est nous, on sait faire, même le design. Et en plus on mord pas". D'où le double déplacement, paradoxal seulement en apparence qui vise à une beaucoup plus grande économie de moyens en même temps qu’à une ouverture sur des enjeux plus vastes. À bas bruit, ils suscitent d’autant mieux les échos des mythologies résonnant avec ceux des mystères de notre quotidien.
Ah zut, je l'ai déjà dit, ça.
Un regard à la fois tendre et
amusé, interrogatif et critique, xx pose, au travers de l’histoire qu’il
parcourt, des interrogations sur l’avenir.
Citer, c'est méchant?
C'est méchant, si vous allez le rapporter au journal l'équipe.
Et pourtant, c'est vrai, c'est écrit.
C'est méchant, si vous allez le rapporter au journal l'équipe.
Et pourtant, c'est vrai, c'est écrit.
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